Store Blåmann prosjekt

Au cours de l’été 2014, une équipe de quatre jeunes grimpeurs belges s’en ira affronter les parois rocheuses du Grand Nord.
C’est donc dans le cercle polaire Norvégien que le Club Alpin Belge Junior Really Cool Team (ou Junior Rock Climbing Team) va s’aventurer toucher ce granit si pure.

Sur l’île de Kvaløya se situe une majestueuse paroi de 450 m qui ne laisse que peu de chanceux arriver à son sommet par la voie des aventuriers : l’escalade libre.
Le Grand Blamann.

Une imposante face de 450 m de granite en léger dévers et parcourue par des minces fissures éparses, où se mélangent des voies d’artificiel à des longueurs en libre d’une complexité impressionante. Il reste encore au Blamann six voies qui n’ont pas été libérées ; et le potentiel d’ouverture est encore énorme. Aucune voie n’est inférieure au 7b et comportent un bon nombre de longueurs dans le huitième degré.

Une imposante face de 450 m de granite en léger dévers et parcourue par des minces fissures éparses, où se mélangent des voies d’artificiel à des longueurs en libre d’une complexité impressionnante.
Il reste encore au Blamann trois voies qui n’ont pas été libérées ; et le potentiel d’ouverture est encore énorme. Aucune voie n’est inférieure au 7b et comportent un bon nombre de longueurs dans le huitième degré.

Notre but est de gravir la face Nord du Grand Blamann à mains nues. Ne sera utilisé pour progresser que nos mains et pieds… Tout en restant bien entendu sécurisé.

Il reste actuellement, sur la face Nord du Blamann, 3 voies n’ayant toujours pas été libérées. Notre objectif final est donc de tenter une ascension en libre de l’une d’elles.
Peut-être irons nous également gravir une des 4 autres voies très peu répétées ou gambader sur d’autres parties de la face.

Les conditions durant cette période de l’année sont assez favorables à la grimpe ; pour autant que le beau temps soit au rendez-vous. De plus, durant une partie de notre séjour, nous pourrons jouir du fameux soleil de minuit tant convoité lors d’ascensions en push.

Concernant notre éthique de voyage qui est de faire le plus d’économies possibles, et ce sur tous les fronts, nous avons eu la possibilité de nous faire prêter un van. Cela minimise ainsi notre empreinte CO2 par rapport à la voie aérienne et permet surtout de profiter du paysage pendant le voyage.
Nous nourrir ne sera pas choses aisée si l’on ne veut pas dépenser un seul centime. Cependant nous relevons le défi avec l’intention de pêcher sur place et de récupérer des biens alimentaire “bons à jeter” dans nos supermarchés tant convoités…

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